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Dimanche 14 décembre 7 14 /12 /Déc 11:27

http://www.prose-cafe.fr/wp-content/uploads/2014/12/livresse-des-sens.jpg

Agréable surprise que cette nouvelle. En seulement 20 pages, on est emporté dans la vie de cette jeune femme !

 

Histoire intéressante sans pour autant être ennuyeuse.

 

Les scènes manquent tout de même de profondeur ; des détails et davantage de ressenti auraient complété le tableau, histoire de faire naître l’excitation ! J’ai senti les limites de l’auteure également, comme si son inconscient la guidait.

 

L’écriture est très fluide et le rythme est bon !

 

Je ne connaissais pas cet auteure, mais j’aimerais en lire encore.

 

Je le recommande.

Par Prose Café
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Samedi 6 décembre 6 06 /12 /Déc 20:38

http://www.prose-cafe.fr/wp-content/uploads/2014/12/258-les-portes-deuphoria.jpg

J’adore ce recueil. Une fois de plus, l’auteur nous embarque tout de suite dans ces univers réels et imaginaires.
Les descriptions sont très abouties, tout comme les personnages d’ailleurs.

 

Ici, les tabous n’ont pas le droit de citer, et ça fait du bien.
Il n’y a pas de limites pour l’imagination de cet écrivain ; on ressent une liberté d’écriture assez étonnante d’ailleurs !

 

Le petit « moins » de ces nouvelles, c’est que, pour quelques-unes, la fin arrive beaucoup trop vite et de façon assez brutale, dommage !

 

Je recommande vivement ces histoires pour les personnes majeures, bien évidemment !

Par Prose Café
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Dimanche 30 novembre 7 30 /11 /Nov 16:54

macabres cambrures

Macabres Cambrures lie Éros et Thanatos. Cléo et Jean, personnages récurrents de ces nouvelles, sont prisonniers de situations troubles et mortifères.

« Jean était seul. Il eut peur, et partit en courant dans la chaleur de la nuit d’été dans un champ de luzerne baigné de lune. Il n’osait pas se retourner, par crainte de ne plus voir la grange. Ou pire, d’apercevoir son amante. »


Marionnettes sortant de scène lors d’un spectacle dont l’érotisme n’a que le drame comme issue, ils se relèvent pourtant à chaque lever de rideau, pour rejouer leur destin dans de nouveaux costumes, sans avoir appris des saynètes précédentes…

 

Pour commencer, merci à ChocolatCannelle de e-ros, collection des éditions Dominique Leroy de m’avoir confier ce recueil de nouvelles.

 

 

Pauvres hommes que nous sommes !

 

Dans ce recueil de nouvelles, les femmes, représentées par Cléo, sont impérieuses, capricieuses, prennent, possèdent pour au final en jouir. Les hommes, à travers Jean, sont des jouets, des servants à la merci du plaisir de ces dames.
Les pensées, émotions, sensations… de Jean, le narrateur, sont justes, sans partir dans le mélo ni macho, simplement au service de la gente féminine.
Cela change !

 

C’est vraiment bien écrit, je me suis retrouvé immergé dans les nouvelles, faire parti de l’histoire.
La fin de chacune d’elles est déroutante, troublante, surtout la dernière (j’ai adoré >:-P).

Par Prose Café
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Samedi 22 novembre 6 22 /11 /Nov 21:28

en-porte-a-faux.jpgEn révélant à ma femme mon fantasme de la voir se donner à un autre homme, j’étais loin d’imaginer que cet aveu allait nous entrainer dans un jeu érotique de plus en plus élaboré… Un jeu dont chaque partie me rapprochait toujours plus de mon rêve insensé…

 

Après un début un peu laborieux, je suis rentré dans l’histoire.
Les émotions contradictoires du personnage principal sont criantes de réalité.
J’ai pu, de coeur et de corps, me mettre à sa place.
Mais cela ne s’arrête pas là. Les émotions de la femme de notre protagoniste sont aussi troublantes.
Une belle histoire à lire à deux >:-P

Par Prose Café
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Samedi 22 novembre 6 22 /11 /Nov 13:10

Sheherazade-2.0-copie-1.jpgDans son palais, le Sultan El-Hadam bir’Out s’ennuie. Jusqu’au jour où une sauvageonne s’époumone et se débat devant lui.

 

Enfin, de l’animation !

 

Shéhérazade parle certes un peu trop, manque de docilité, mais remplace avantageusement toutes les concubines du Sultan…

 

 

Sincèrement ? Je me suis bien amusé à lire cette histoire.

 

Elle est écrite avec beaucoup d’humour. Les scènes sont plus qu’explicites, nous ne sommes pas dans l’érotisme mais plus dans le charnel, limite bestial. Cela provoque un certain émoi (ou un émoi certain) lors de la lecture.

 

Mais une question se pose : douceur et galanterie ou baise sauvage ?

 

Avec de belles illustrations de Virgilles

Par Prose Café
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