Présentation

Jeudi 20 novembre 4 20 /11 /Nov 08:03

Sheherazade-2.0.jpg

Qui je suis ?

Un personnage, avec beaucoup de bouts de « vrai moi » dedans. A l’origine: un site adultère sur lequel je suis allée me promener, ma vie était ainsi faite, alors. Très vite, le plaisir redécouvert de la séduction, à distance certes, et cachée derrière mon écran, mais séduction quand même. Et plaisir. Avec certains hommes, je suis restée dans une relation purement virtuelle, ils me disaient alors: » S’il vous plait Corpus, faites-moi bander! Excitez-moi! » et j’adorais les faire bander et les exciter, sans jamais les rencontrer, ni même connaître leur véritable nom. J’ai écrit récemment qu’il y avait comme une histoire de pouvoir dans le fait de transmettre des émotions, même sensuelles, à travers les mots. Mais « pouvoir » est un terme mal choisi. Parce qu’en réalité, pour moi, il y a surtout de la jouissance à donner du plaisir, même à travers des mots. Écrire comme j’ouvrirais une bouteille de champagne… J’ai rencontré certains de ces hommes pour de vrai, mais: chut! ceci est une autre histoire! En tout cas j’ai gardé de cette expérience le goût et l’envie d’être – aussi – Corpus Delecta. Une femme-plaisir. Une femme à bulles!

Mes histoires sont aussi les leurs
La plupart de mes histoires sont nées des fantasmes des hommes. Protégés par l’anonymat de la toile, beaucoup se sont livrés en toute confiance, leur écrire des histoires sur mesure est vite devenu un jeu presque addictif, drôle, léger, sans contrainte… Nous n’étions pas là pour nous juger, ou pour taire nos plus secrets désirs, au contraire! J’ai par exemple écrit beaucoup d’histoires autour de vêtements. Les hommes sont très sensibles à la beauté d’une silhouette, à la fluidité d’un tissu, au galbe d’un mollet, à la fragilité d’une cheville perchée sur des talons, à une cambrure accentuée par un vêtement joliment moulant… Et contrairement à ce qu’on essaie de nous faire croire, ils n’ont rien contre nos rondeurs, nos imperfections, notre humanité nous rend désirables, et leur permet de se sentir désirés, eux aussi. Bon, bien sûr, je parle là des hommes que j’ai accepté de rencontrer, moi. Je sais par expérience, et aussi pour en avoir discuté avec des amis des deux sexes, qu’il y a d’autres profils, notamment sur les sites Internet. Je ne peux évidemment parler que de ce que moi, j’ai choisi de vivre. Au-delà de l’émotion que leur procure une jolie silhouette, les hommes aiment tout autant les mises en scène que nous, les femmes. Et ils ont envie de se sentir désirés. Notre désir pour eux les excite… Si je devais résumer la ligne conductrice de mon travail d’écriture érotique, ce serait ça, je crois: tout comme nous, les hommes crèvent d’envie de se sentir désirés.

 

L’exception Shéhérazade 2.0
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​Je pense être assez ouverte, joueuse, ludique… pour imaginer et écrire pas mal de choses. C​eci dit, il y en a au moins autant dont je n’ai pas envie. Les relations SM par exemple ne me séduisent et ne m’attirent absolument pas. Chacun son truc, ce n’est pas le mien​ c’est tout.​
Dans ce sens-là, je trouve que « ma » Shéhérazade frôle les limites.
​C​ela fait partie de ma liberté d’auteure: je peux frôler les limites! J’ai écrit « Shéhérazade 2.0″ un peu comme une boutade, une réponse à un défi lancé par un homme. Je me suis beaucoup amusée à le faire, c’est une histoire « à la manière de », plus proche de San Antonio, dixit un lecteur, que des « Contes des 1001 nuits ». C’est avant tout une histoire écrite pour divertir et exciter, mais ça reste une histoire. Je vais publier en 2015 chez HQN un tout autre récit, beaucoup plus sensuel, plus puissant, parce qu’il y est question d’attirance presque fusionnelle. J’écris beaucoup de choses différentes, dans beaucoup de domaines qui n’ont rien à voir les uns avec les autres. Ce qui les relie, ces choses, c’est la liberté, ma liberté d’auteur​e​. Dans le domaine de la littérature érotique, je l’apprécie tout particulièrement, cette liberté. Parce qu’elle rejoint ma liberté de femme, et que je suis les deux…

Par Prose Café
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Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 17:17

http://www.prose-cafe.fr/wp-content/uploads/2014/11/confidences-couv-red.jpg

Biographie d’une jeune femme cherchant sa voie !

 

Je reste perplexe car à aucun moment, je n’ai eu d’excitation. Les pseudo scènes sont peu détaillées et il n’y a pas vraiment d’histoire.
Pas d’investissement de la part de l’auteure. Pas de ressenti, ni d’émotions, dommage !
C’est juste une succession d’expériences humaines et charnelles.

 

Par contre, j’ai trouvé certaines techniques de drague très intéressantes, à tester :-P.

 

Sinon, la nouvelle est plutôt bien écrite, c’est fluide et le vocabulaire employé sans équivoque !

 

Pour résumer, je n’ai pas aimé mais cela doit plaire à d’autres !

Par Prose Café
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Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 16:05

isabelle

 

L'aventure de l'écriture a commencé pour moi il y a une dizaine d'années. Timidement d'abord, avec des embryons de textes qui se sont rapidement transformés en nouvelles. Dans un registre particulier je l'avoue, puisqu'il s'agit essentiellement de nouvelles érotiques.

 

C'est en 2009 que les choses sont devenues sérieuses, puisque l'un de mes textes, Les feux de l'enfer, fut sélectionné par les Editions Blanche pour faire partie du collectif féminin 2010 Folies de femmes. Quelques semaines après, c'était au tour de la Musardine de retenir une de mes nouvelles, Les mémoires d'un amant, pour leur premier recueil collectif Osez 20 histoires d'infidélité.


Depuis, je compte trois parutions aux Editions Blanche et deux à la Musardine. Vint ensuite l'aventure du livre numérique avec les Editions Dominique Leroy et leur collection e-ros. Un très court texte est paru dans un volume gratuit eXercices stylistiQues, puis ce fut Un, deux, trois... Nous irons en croix qui inaugura la catégorie D/s (domination et soumission) de la collection. A ce jour, je compte six publications chez cet éditeur, puisque virent s'ajouter à la liste Que la chair exulte en 2012 et Poupée de chair en 2014 ainsi que deux publications dans des recueils collectifs, A mon amante et Lettres à un premier amant (2012). Tous ces volumes sont disponibles au téléchargement sur toutes les grandes plateformes de librairie en ligne (FNAC, AMAZON...) ainsi que sur le site de l'éditeur http://www.dominiqueleroy.fr/auteur/134/Isabelle%20Loredan à des prix allant de 1,49 à 2,49 €. Au travers de mes divers écrits érotiques, je m'attache à narrer des situations où une femme trouve un épanouissement à travers la sexualité et le lien qui l'unit à autrui, homme ou femme.


En décembre 2013, j'ai eu la joie de voir paraître aux Editions Harlequin-HQN une novela historico-fantastique Les Noces de la Saint-Jean. Là encore, on peut télécharger le volume sur toutes les plateformes de librairie en ligne pour la modique somme de 0,99 € ou directement sur le site des éditions Harlequin-HQN http://www.harlequin-hqn.fr/ouvrage/les-noces-de-la-saint-jean


Aujourd'hui, je travaille sur différents projets dont l'un est d'ores et déjà soumis à divers éditeurs. Il s'agit d'un récit de vie qui sort complétement de ce que j'ai pu faire auparavant, puisqu'il traite de violence conjugale. Un recueil de contes régionaux est également en chantier, de même qu'un premier roman qui, s'il se situe dans le registre érotique, explorera la noirceur de la sexualité et la folie humaine.

 

On peut suivre mon actualité sur mon blog http://isaloredan.wordpress.com et je suis également présente sur divers résaux sociaux

Par Prose Café
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Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 16:02

Chambre 31L’histoire d’un premier rendez-vous dans une chambre d’hôtel. Michel et Milena mettent en scène leur première fois.


Rythme soutenu grâce aux phrases courtes ce qui traduit bien le stress occasionné par ce type de rencontre « hors-norme ».

 

C’est une lecture rapide et qui fait grimper la tension très rapidement ! Mieux vaut être seul pour le lire car l’excitation est garantie.

Par Prose Café
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Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 16:00

Mon-Cher-Balmy.jpg

Au XIXe siècle, un petit garçon observe en cachette les soirées libertines de son père, chirurgien. À la mort de ce dernier, il lui semble de son devoir de suivre ses traces en étudiant la médecine. Cependant, hanté par ses souvenirs de corps féminins, épris de peinture, Balmy mène une vie de bohème…

 

Merci à ChocolatCannelle de nous avoir envoyé ce texte.

 

Certes l’écriture est fraîche, le thème et scénario sont orginaux mais j’ai vraiment trouvé ça trop léger, pas assez développé que se soit dans les scènes, les sentiments ou sensations.
J’ai donc lu 22 pages agréables mais sans émois.

Par Prose Café
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